Les syndicats de la Direccte s’inquiètent des conséquences de la réorganisation des services déconcentrés de l’Etat, mais également du transfert possible de certaines missions à la Région
Macro organigramme par ci, micro organigramme par là : les Comités Techniques (instances représentatives du personnel) se ressemblent et la défiance demeure entre les représentants du personnel et les représentants de l’administration.
Les premières circulaires sur la réforme annonçaient 110 suppressions de postes (10 % des effectifs). Aujourd’hui, l’administration prétend que la fusion se fait à emplois équivalents. Cependant, des services sont supprimés (il n’y aura plus de services statistiques en Auvergne par exemple), des moyens sont redistribués (les agents du service de l’Auvergne seront également chargés du département 42), les médecins inspecteurs du travail toujours aussi peu nombreux sont affectés sur l’ensemble des deux régions, la fusion des services comportent des baisses de postes. De plus, les conséquences des délégations de missions au Conseil Régional (loi Nôtre) ne sont toujours pas abordées.
La Cgt a chiffré les suppressions et manques de postes sur les deux régions (cliquer pour lire).
Face à cet enjeu, l’ensemble des organisations syndicales de la Direccte : Cgt, Fo, Fsu, Sud, Cftd et Unsa interpelle l’administration et principalement le préfet de Région pour répondre : cliquer pour lire
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Ancien lien : https://www.cgt-aura.org/spip.php?article1073