Cher-e-s camarades,
Nous voici donc parvenus au terme de notre première Conférence Régionale Auvergne / Rhône-Alpes.
Je voudrais tout d’abord commencer par remercier, à nouveau, Serge Lenoir Secrétaire Général de l’Union Locale de Roanne et son collectif militant.
Elles et ils qui ont accueilli de la meilleure des façons.
Elles et ils ont assuré la logistique de notre conférence dans le moindre détail et sans la moindre faille, et depuis de nombreux mois.
Efficacité, disponibilité, fraternité, tout était parfait.
Je vous invite à saluer et à remercier très chaleureusement la belle et formidable équipe de l’Union locale de Roanne. Un grand merci à vous toutes et vous tous de toutes et tous les participant-e-s.
Je souhaite également, tout particulièrement, remercier le collectif préparatoire à notre conférence régionale. Après Rosa, je voudrais souligner le caractère inédit de la décision de nos deux comités régionaux d’aller à une conférence régionale commune en posant l’enjeu d’un comité régional commun, avec les objectifs rappelés durant nos débats : Peser plus fort et efficacement contre les choix stratégiques du nouvel exécutif, du patronat et des politiques d’austérité en étant davantage force de propositions, présents sur les lieux de travail pour déployer notre démarche travail afin de gagner le pouvoir d’agir des travailleurs, insuffler confiance et espoir.
Aussi, réunir 350 participants des territoires et des professions d’Auvergne et de Rhône-Alpes pour travailler au rapprochement de nos deux comités régionaux, aux conditions et aux moyens pour travailler mieux ensemble au service de nos ambitions revendicatives et de qualité de vie syndicale n’est vraiment pas banal, pour être à nouveau souligner. C’est même tout simplement historique !
Je veux aussi remercier nos deux chercheurs économistes de l’ADEES, les salariés du comité régional du Rhône Alpes et du Puy de Dôme, Françoise Rodillat, pour leur grande disponibilité, leur engagement, leur responsabilité et toujours dans une ambiance fraternelle, sans qui la réussite de notre initiative n’aurait juste pas été pensable. Un grand merci à vous ! Merci à l’ensemble de nos invités, aux musiciens, au traiteur qui nous a régalé, merci à nos organismes CGT et à nos partenaires institutionnels. Merci à Palm prod et à l’espace communication pour la vidéo.
Hier matin, dès ses premières phrases, Rosa Da Costa Secrétaire Générale du Comité Régional Auvergne a ouvert notre Conférence Régionale.
De son intervention j’ai retenu particulièrement ces quelques mots ou expressions : « Travailler ensemble, peser ensemble, appréhender ensemble, décider ensemble, être utile et efficace ensemble ». Elle a insisté également et à juste raison sur l’importance de soigner et renforcer toujours plus et mieux la proximité dans notre militantisme. Nous en sommes tous convaincus, l’organisation collective dans le syndicat et dans nos unions locales sont le gage de notre utilité et de notre efficacité CGT.
Rosa a traité également des grandes questions qui traversent le monde. Elle a pointé le contexte dans lequel nous militons les unes, les uns et les autres.
Rosa a parlé de peste brune, de racisme, de repli sur soi et de la violence. Elle a dénoncé toutes ces atteintes aux libertés et aux droits syndicaux qui se multiplient dans nos UD, UL et entreprises. El la nécessité de ne jamais banaliser la violence à l’encontre des travailleurs, des femmes et des hommes qui font la CGT au quotidien. Quand on touche à une syndiquée, à un syndiqué de la CGT, c’est toute la CGT qui est attaquée.
Rosa a largement abordé les importantes initiatives à venir que représentent les Assises nationales de l’Industrie, celles de la santé et de la protection sociale à construire en région et en territoire. Celle d’une campagne coordonnée sur les droits et libertés pour la conquête de nouveaux droits pour la démocratie sur les lieux de travail et pour le travail. De nouveaux droits pour faire vivre la démocratie en territoire et dans la cité.
Merci Rosa pour cette introduction empreinte à la fois de lucidité, d’ambition et de perspectives pour notre CGT.
Plus largement de l’ensemble de nos travaux, je me dois maintenant de dégager à chaud un premier bilan. L’exercice est forcément délicat, mais sans risque de me tromper une première réflexion s’impose à tous, nous pouvons légitimement être très fiers et satisfaits de nos travaux.
Malgré les craintes, les justes appréhensions et légitimes interrogations exprimées dans cette salle, nous avons ici à Mably fait la démonstration que notre décision partagée de renforcer notre travailler ensemble pour aller vers un comité régional commun, n’était pas faite que de postures, de peur ou d’enthousiasme, mais qu’elle était résolument empreinte de notre volonté partagée de mettre en région la CGT à la hauteur de ce qu’elle est, et à la hauteur de ses responsabilités.
Dit ainsi cela peut paraître commun, mais mesurons bien, chers camarades, à quel point cela va nous aider à avancer, à être toujours plus et mieux l’outil au service de nos structures en proximité, ce bel outil au service du réel, de tous, auvergnats et rhônalpins, au service de l’exigence de la transformation et de l’indispensable reconquête ! Transformation sociale et reconquête d’une nouvelle mise en sécurité sociale.
Ce « travailler ensemble » évoqué hier matin dans les différentes présentations, nous a fait entrer dans le premier grand débat de notre Conférence. J’en ai retenu personnellement ceci, porté par cette réalité du quotidien :
Michel du Puy de Dôme a invité la CGT à être attentive au devenir de l’école par où passe tous les citoyens
Coralie a témoigné du vécu de ces étudiants précaires et ubérisés et de leur vie galère et à temps partiel, tout comme Valérie de la Haute Loire parlant des Aides à domicile, véritables sous prolétariat moderne.
Guy de Haute Savoie qui nous rappelle que l’on n’a pas le choix et qu’il faut comme jamais peser sur l’évolution de la société tant elle va dans un sens injuste et révoltant.
Que Thomas de la Haute Loire a eu raison d’insister sur l’importance de se connaître et de mieux connaître nos territoires, et d’affirmer haut et fort que nous sommes complémentaires et non dans une absurde et dangereuse concurrence.
Françoise de la santé qui nous incite à mieux travailler la communication, bien utile dans le monde de propagande mensongère et manipulatrice de trop de médias au service des Bolloré et autres capitaines d’industries et du fric.
Pardon de ne pas citer tout le monde car la pertinence de toutes les interventions aurait mérité d’être reprises ici.
Après le déjeuner, Gilles dans son intervention, au nom de la confédération, a rappelé les priorités et les urgences du moment. Il nous invite à retrouver sens et engagement porté par nos valeurs de solidarité et de justice sociale.
Il nous revient de poursuivre notre inlassable combat pour la satisfaction des besoins immédiats, pour le progrès social.
Dans le contexte redonner des motifs d’espérer et d’offrir des perspectives, prend tout son sens. Pour être plus forts, nous avons également besoin de prendre soin de nous, d’être bienveillants entre nous, rassemblés, en « armant » les syndiqués, par la formation, la lecture CGT, afin d’ancrer toujours plus et mieux la CGT à partir du lieu de travail et de vie. Car oui, dans les périodes les plus difficiles de notre histoire, le syndicalisme et surtout lorsqu’il a été rassemblé a toujours été le ferment de l’utopie, du rêve. C’est ainsi, dans l’histoire le syndicalisme a permis à des générations de se rassembler, de lutter et de gagner des conquêtes sociales. Alors aujourd’hui encore plus qu’hier osons y croire encore et encore !
Puis, il y a eu notre première table ronde « A la reconquête de l’égalité des territoires ».
Reconquérir… C’est sans doute aujourd’hui le verbe le plus porteur d’égalité qui soit. Il ne tire pas vers la seule défense certes indispensable d’un existant de plus en plus difficile à vivre, mais il ouvre en grand des perspectives à partir de nos revendications et propositions alternatives.
Et puis, plus largement il y a toutes celles et ceux qui ont porté cette volonté de travailler dans la proximité. Proximité encore pour mieux partir du métier, du travail réel de celles et ceux qui font.
D’autres camarades ont insisté à juste raison sur notre interdépendance.
Reconquérir les territoires, je ne sais plus qui l’a exprimé, c’est travailler et construire ensemble, c’est se placer à la hauteur des enjeux, c’est établir des diagnostics partagés, c’est confronter des analyses et élaborer des propositions, d’autant que nous sommes placés devant une nouvelle donne territoriale.
Je ne peux évidemment encore être exhaustive de la richesse de vos expressions, je me limiterai à souligner trois aspects :
Le premier, la Région Auvergne /Rhône-Alpes devient malgré la casse des entreprises la première région industrielle de France. Et nous entendons qu’elle bien qu’elle le reste et que notre industrie se développe au service des besoins, pour travailler tous, mieux et bien, pour le développement de nos territoires.
L’enjeu des mutations qui en découlent notamment dans le domaine technologique et composition sociale de l’emploi, j’entends par là, la place dans le monde du travail des ingénieurs cadres et techniciens, comme des professions intermédiaires, nécessite plus que jamais une démarche revendicative anticipée afin de contrecarrer les injonctions des choix patronaux et gouvernementaux et faire valoir nos propositions alternatives.
Le deuxième aspect tourne autour de ce qui a été dit sur la démocratie et les lieux dans laquelle on la fait vivre, et je fais référence là à ce qu’a dit Bruno Bouvier. Les exigences qui s’expriment nous amène à travailler encore et davantage la démocratie de proximité, et ce dans un contexte difficile. Il nous faut articuler ce que nous sommes parvenus à mettre en œuvre dans le cadre du dialogue social territorial, et autant que faire se peut dans l’unité et le rassemblement.
Le troisième et dernier aspect n’est pas le moins important. C’est, au regard du contexte économique et social, la nécessité et notre engagement de prendre en compte toutes les inégalités territoriales et sociales en termes de santé, éducation et plus largement de tous les Services Publics afin de favoriser l’accès de tous aux droits fondamentaux.
Il y a eu ensuite notre deuxième table ronde avec Bernard Thibault animé par Bruno entouré de Lynda, Julien et Laurent, Valentina, Ricard et Jean-Jacques.
Etre en phase avec le titre du livre de Bernard « La troisième guerre mondiale est sociale », c’est être aussi en phase avec son contenu. Cela doit nous amener sans aucun doute à effectuer quelques bougés aujourd’hui dans notre réflexion et demain plus concrètement encore dans notre démarche, parce que l’agression que nous subissons est bien à ce niveau-là !
Bougés également à partir de nos décisions de congrès dans notre stratégie syndicale, dans notre rapport aux syndiqués et plus largement dans notre rapport aux salariés dans les territoires et professions. Là aussi comment le Comité Régional aujourd’hui et demain peut-il mieux être cet indispensable et solide appui, tourné à fonds vers la recherche d’efficacité ?
J’ai sur cette thématique retenue également quelques axes forts dont il faut continuer, me semble t’il à s’imprégner :
Je vous renvoie au livre de Bernard que vous avez tous acheté, mais néanmoins et à l’évidence la table ronde et les interventions liées au travail et à l’international nous questionne sur un apparent paradoxe : « Comment traiter de la proximité revendicative tout en tentant de répondre aux défis internationaux qui impactent notre vie de tous les jours au travail ? ».
Ce syndicalisme du quotidien, au plus près des situations de travail, ce syndicalisme du travail réel, ce syndicalisme à la source de tous les maux et contradictions du monde. Cette table ronde éclaire si besoin la démarche travail porté confédéralement depuis plusieurs années afin que ce retour à l’essentiel « Travail » devienne notre quotidien revendicatif dans notre rapport aux travailleurs. Car la crise avant d’être économique, sociale, environnementale reste la crise du travail, celle de la manière dont les femmes et les hommes produisent leur existence.
Oui, Le travail dans ces différentes configurations, économiques, sociales, et culturelles écopent d’une mise en concurrence qui s’analyse à la fois au plus près de chaque poste de travail mais également dans leurs liens de dépendance et d’articulation comme Bernard Thibault l’a démontré avec les multinationales. De ce fait chaque niveau d’intervention compte loin de s’opposer à sa pertinence comme l’a exprimé notre camarade catalan des Commissions ouvrières.
A cet égard nous devons être attentifs à la réflexion avancée par Valentina Gappeletti de la CGIL de Lombardie sur les Comités de Groupe Européens dont on voit bien qu’ils peuvent être notamment un important haut parleur aux luttes sociales et aux convergences.
Jean-Jacques Guigon l’animateur de l’activité internationale du Comité Régional a rappelé lui toute l’utilité, toute la richesse d’expériences et de solidarité que l’on a engrangée depuis maintenant des décennies en Rhône-Alpes principalement avec nos camarades italiens, catalans, allemands, suisses, libanais et palestiniens.
Il a réaffirmé que sur notre engagement international, nous ne lâcherons rien non plus, et que Laurent Wauquiez (que vous pouvez siffler !) échouera dans sa pitoyable tentative de nous imposer de vivre replier !
Oui, la troisième guerre mondiale est sociale, et oui c’est bien en nous tournant encore et toujours activement et solidairement vers nos camarades d’Europe et du monde que nous entendons bien la mener et la gagner !!!
A peine sortie de cette table ronde à la fois régionale et internationale, nous sommes entrés dans la séquence émotion, hommage, et apéro musical qui a clos la journée d’hier. Notre soirée d’hier résonne encore des témoignages, portée dans nos remerciements, à l’adresse de Christine et à Bruno, cette amitié sincère, cette fraternité révélée par vous toutes et tous..
A mon tour, d’exprimer avec émotion et fierté, la responsabilité qui est la mienne de succéder à Bruno, et de poursuivre une œuvre, une histoire singulière du fait régional débutée il y a près de 40 ans avec Joseph Jacquet, poursuivi avec Daniel Blanc-Brude.
Après une nuit courte pour certains nous avons repris les travaux, certes
peut-être difficilement pour certains, mais avec confiance et en confiance vers l’avenir. Nous avons décidé en responsabilité de travailler ensemble aujourd’hui au travailler ensemble, pour construire demain.
Nos deux Comité Régionaux, dès aujourd’hui mais bien davantage encore dans un an aura une place importante dans cet avenir. Il sera l’outil commun des structures de la CGT en territoire et il sera au service des syndicats de la CGT. Il sera l’animateur d’un indispensable travailler, lutter et gagner ensemble en Auvergne et en Rhône-Alpes.
Je ne reviens pas sur la feuille de route, sur le fil rouge placé désormais sous la responsabilité de nous tous. Karine et Bernard ont largement posé les enjeux, les défis et les objectifs que nous avons définis ensemble, tant sur les objectifs revendicatifs que de qualité de vie syndicale.
De ce point de vue, nous sentons bien les uns et les autres, qu’il nous faut faire mieux, ensemble pour permettre aux syndiqués, aux élus et mandatés d’être formés, informés pour être à l’aise dans sa responsabilité, dans son rapport aux travailleurs. L’enjeu de l’évolution des périmètres a tous les niveaux et également venus, comme celui réaffirmé de tenir le cap de nos conférences d’unions locales départementales.
Je ne reviens pas non plus sur, la démarche et la méthode de travail que nous allons adopter ensemble pour travailler ensemble pour aller à un comité régional commun.
Il ne vous a pas échappé que les Présidences de séances ont toutes été à parité. Il ne vous aura pas échappé que nous pouvons mieux faire et largement, côté tribune et participation.Nous savons ici que la place des femmes dans la CGT, l’égalité femmes hommes, reste et demeure un défi, un combat quotidien et une conquête à venir, à la condition qu’il soit le combat acharné de toutes et de tous.
Le nombre d’ICT représentent désormais dans certains secteurs les salariés les plus nombreux. Leur situation de travail implique de franchir un cap dans leur prise en compte. Beaucoup de syndicats se disent en difficulté pour aller au contact de ces catégories de salariés. Fabrice Fort, camarade de Renault Truck, en responsabilité à la région métaux, a accepté de contribuer en lien avec l’UGICT, de travailler à coordonner cet enjeu en région.
Notre conférence témoigne également du rôle croissant tant au plan économique et social, que dans l’exercice de la citoyenneté des retraités. Insister sur la continuité syndicale afin qu’il n’y ait aucune rupture entre la fin de l’activité professionnelle et l’activité de retraité constitue une tâche majeure pour notre syndicalisme .
Et si Maxime Grand de la coordination régionale « Jeunes » a été à la Tribune de cette demi-journée, ce n’est pas non plus le fruit du hasard. Nous devons dans nos UL et UD, dans nos branches et syndicats ouvrir plus et mieux en Grand (et sans jeux de mots !) La prise de responsabilités à nos jeunes camarades sans attendre trop longtemps qu’ils aient fait leur preuve :
Il me revient maintenant la responsabilité mais aussi le plaisir de vous présenter la nouvelle équipe qui va désormais animer notre Comité Régional sous la responsabilité des 12 UD en lien étroit avec les professions.
Je propose aux SG des 12 UD à venir me rejoindre sur la tribune.
La nouvelle équipe est composée pour l’année à venir d’ici à la création d’un seul comité régional, de 4 Secrétaires Régionaux et d’un administrateur en Rhône-Alpes comme en Auvergne :
Rosa Da Costa Secrétaire générale du CR Auvergne
Karine Guichard activité communication et animatrice du groupe CGT au CESER
Stéphane Bochard activité emploi-formation professionnelle
Eric Hours Activité formation syndicale
Agnès Naton secrétaire générale du Comité régional RA
Et Jean-Jacques Guigon et Serge Rolland Administrateurs
Je veux également citer des camarades qui animent et développent des activités structurantes utiles aux service de toutes les organisations.
Christophe Rigolet et Julien Despierres pour l’activité Travail/santé
Mylène et Paul Charre pour l’activité formation professionnelle
Chers camarades, cette Conférence dans sa phase studieuse n’a plus qu’une minute à vivre. Elle a été remarquablement responsable et attentive, empreinte de franchise et de tolérance, d’enthousiasme, de fraternité et d’émotions. Nous avons on ne peut mieux démontrer que débattre ce n’est pas perdre son temps, mais c’est bien de s’approprier des perspectives. Et en perspectives osons le défi du rassemblement, et de l’unité !
Osons rêver d’un autre monde ! car et je cite là Maurice Gaudelier « L’Homme n’est pas seulement un être qui s’adapte, il est un être qui s’invente. Les hommes ne se contentent pas de vivre en société, ils produisent de la société pour vivre ».
Dans le monde agressif, anxiogène, briseur de rêves et d’avenir dans lequel nous vivons, dans ce monde politique et économique qui dans bien trop de pays a déclaré la guerre au social, soyons en Auvergne / Rhône-Alpes les militants CGT de la vie, de la lutte, de l’espoir, et de l’avenir !
Et soyons persuadés que notre Comité Régional, avec ses milliers de militantes et militants, avec ses dizaines de milliers d’adhérentes et d’adhérents, nous allons largement y contribuer ! Alors, tous ensemble « transformons le monde dans le sens du bonheur du tous » comme aimait à nous le rappeler Georges Séguy.
Je vous remercie !
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Ancien lien : https://www.cgt-aura.org/spip.php?article1287